Suprémacisme

mind me saying but Should we describe that obscene scene ?

The guy ? vacuuming ?
What was dirty should be clean, is it?
well that’s the idea !
But that’s the job for the low class, so ignore him, he is nothing.

You see the naked slut ? lying on her bed ?
while the camera guy focuse ? he is such a slow bastard ! look at him !

She is playing with a snake… and I’m not talking metaphoricaly, there is a fucking stupid snake in the studio, it’s the producer’s pet…I almost walk on that.

If you want my opinion she, the nude lady, is probably a salacious whore of low morality….
how could it be otherwise ? showing your ass to a nation of wankers ?
that is for sure some disturbing exhibitionnism… who would like to have a girl like this ?

And look , the lesbian, she waits her turn (another vicious she-devil, if you don’t mind me saying) look at this depraved whore.

the other guy, he has to know his text
you don’t improvise here, this is the roman empire here !
however small or big your dick is.

The producer itself,
Kind of demiurge of the penthouse,
of a limitless industry
if that dude pays attention to detail
it’s only because we are in the game…
money will flow.

Well, will you also have a drink?

cela me dérange de dire mais devrions-nous décrire cette scène obscène ?

Le mec ? qui passe l’aspirateur ?
Ce qui était sale devrait être propre, n’est-ce pas ? eh bien, c’est l’idée !
Mais c’est le travail des classes inférieures, alors ignorez-le, il n’est rien.

Tu vois la salope nue ? allongée sur son lit ? pendant que le caméraman fait la mise au point ? c’est un salaud tellement lent ! regarde-le !

Elle joue avec un serpent… et je ne parle pas de façon métaphorique, il y a un putain de serpent con dans le studio, c’est l’animal de compagnie du producteur… J’ai failli marcher dessus.

Si vous voulez mon avis, elle, la femme nue, est probablement une pute salace et de mauvaise moralité…. Comment pourrait-il en être autrement ? montrer ton cul à une nation de branleurs ? c’est sûrement un exhibitionnisme inquiétant… qui aimerait avoir une fille comme celle-là ?

Et regarde, la lesbienne, elle attend son tour (une autre diablesse vicieuse, si ça ne te dérange pas) regarde cette pute dépravée.

l’autre gars, il doit connaître son texte on n’improvise pas ici, c’est l’empire romain ici ! aussi petite ou grande que soit votre bite.

 

Le producteur lui-même, Une sorte de démiurge du penthouse, d’une industrie sans limites si ce mec fait attention aux détails c’est seulement parce que nous sommes dans le jeu… l’argent coulera.

 

Eh bien, tu prendras aussi un verre ?

Cor(ps)vidé…

Who cares?

drilling crows

Pickaxes for a happy death,

pleasant shows for the belligerents

I’d better stop worrying about that

as the nazy lady advice me to,

starring deeply and helplessly at the dust

dancing like a robot

Qui s’en fout ?

corbeaux de forage

Des pioches pour une mort heureuse,

spectacles agréables pour les belligérants

Je ferais mieux d’arrêter de m’inquiéter pour ça

comme me le conseille la dame nazie,

fixant profondément et impuissant la poussière

danser comme un robot

Rorschach d’assault

Ode au

Nénuphar dans la tempête,

nez nu dans les embruns,

car ses lotus sont

maritimes

l’opulente

au pull rapide

ment jeté

par dessus bord,

toutes

les lunes sont

gibbeuses

et cul

minent

au sommet du

cinquième ciel

Homère

agité

fraîchissant de 7 à 8

ma lice

de lapider des lapins pales

sur les pales des hélices !

Car dans le marais, Chère

Cul cure bite, assez !

Et dans cette station de ski….

les pistes sont damnées

Ode to

the water lily in the storm,

bare nose in the spray,

for his lotuses are

maritime

the opulent

to the quick sweater

lying thrown

overboard,

all

the moons are

gibbous

and ass

undermine

at the top

of fifth heaven

Homer

restless

refreshing from 7 to 8

my bitch

to stone pale rabbits

on the propeller blades!

Because in the swamp, dear

Ass cure dick, enough!

And in this ski resort….

the tracks are damned

La mite de Sisyphe

Y avait du bon son !. C’était plus que certain.

Superdope Joe l’avait le kiff pour ce groupe là de Ddef-tribal-meta-Mind !
Il glovait la scansion rythmik. Il glovait le message polito contre un manque de savoir-vivre et une obstruction au laisser faire, Il glovait l’atmosphere d’urgence imminente et le choix des effets sonores genre « Kops-Otrouss » ou « champs de la grande batteule fumigénique ».


Comme des petits guerriers des temps sauvages. Tous sautaient des 2 pieds, les yeux aux sols, synchro sur la ziktronique, et moulinaient des bras à fond dans leur tripzs.

Il goba ses 2 doses de speedemphète, du genre de celles que son métabol pouvait gérer facile, car il tenait à y aller molo et placide sur l’acide, garder le kkontrol avant de s’autoriser une déflagration en règle, comme une brutasse de zonk, et plus rien capter du cogitum, et se retrouver potentiel la nipe en étendard dans une des donzelles moulées de la scène… Consentante il s’entend.


« Préliminairz ! » qu’il jacta sans prévenir, d’un sourire de dents serrées comme des tenailles, qui fit sursauter un teufeur du périmètre. Et d’autres d’accueillir sa philosophie les bras levé en beuglant des trucs.

De loin comme ça on pourrait s’apeurer à voir ces gonzos brasser dans un son doumesque. Mais fallait l’avoir subtil. Y avait d’la création et çaurait été d’la gravéreur que d’ les mettre dans le même panier à salade qu’les vauriens volubiles et violents, mou du cibole et amerteux. Non. Les gonz et leur dames damnées y s’plaisaient mieux sur ce rif là. c’est tout. Rien à voir avec un quelconque soutien à un programme auto-dictate, putrifié dans sa nauséabonce.

Et ça repartait en escalator de sons synthetiques comme on parcoure des collines herbeuses à bord d’un 7-17, ou comme bringue-balé sur un vieux rafiots des mers houleuses. Ça rythmait de l’inéluctable et Superdope se sentait comme âme-sonnée. Il remontait la mélodie, tanguant un coup à droite, un coup à gauche, comme un petit biplan parmi des séquoias géants, en évitant agilement de se prendre des branches dans la gueule.

Vu comme ça il avait un style. Ça pouvait attendrir.

Il défractait un peu, mais pas trop et par à coup. C’était comme de se retrouver un instant de clarté limpide, un peu devant/bien devant- le biplan, et jeter un coup d’œil sur son soi même, ou se retrouver un peu derriere/bien derriere- et voir son soi même se débrouiller à piloter le bolide.

Ces petits a coup de défractions , c’était plaisant à sentir. Comme si la team allait bien quoi ! Le pote, son soi même il gérait comme un chef. Et quoi de mieux quand la team fait le job. On est tous contents et fiers. Et le soi-même volette de ci de là no soussaille dans une spirale-no-end.

Mais Maleurz et sorceulerie du temps de la pause, même s’il avait bippé ses heures et que c’était réglé-pour-la-journée, la brigade des satisfactions-stupéfactions zavaient pour lui le planning de le brancher sur un autre mood un peu moins son trip. c’est comme d’être dérangé dans son bain alors qu’une madone bien nuptiale vous brosse le dos..

A quelques encablures (là où il pouvait s’entendre et gérer la converse), il répondit au biphone.

Major Tom, son dominate +1 informa l’infor-tuné padchanss. Le genie drugzinner zavaient mis au point un nouveau truc et qu’ils cherchaient lest du test. Superdope Joe c’etait le Papibowington de la mission, l’éclaireur éclairé top gun de la liste.
Fallait pas trop traîner car yavait l’alignement des planètes comme il appelait ça Major Tom, avec la new pills yavait ce type top, qui mixait avec le son qui allait, et fallait y aller.

C’est comme cela et ainsi que Superdope Joe fut missionné derechef par son chef sur une autre scène tout autre style, avec un ptit sachet de cachets.

La zique était mode relax…. Très peace.

C’était un peu brutal comme changement et Superdope décida de calmer le jeu d’abord et abaisser son palpitant. Fallait une pills pour etre chill pendant la vente , puis il testerait lui aussi car tout bon dealer doit connaître son tossma.

Il s’octroya une fumette senteur florée à un gars bien de la zen-boutik. Attendit en se concentrant sur le mood. Sentit venir.

C’était comme le fourmillement d’une lente érection. C’était tactil. Plutot que la cérébralité doum doum doum à fond dans son ego à tout bazarder de tout à l’heure. Là il relevait la tête, et parmi la scène lente et azurée les skines luisantes et perlées des mad-moizelles ondulaient comme au ralentit. Et la vibe lente gonflait ses poumons comme la promesse d’une joie ultime qui advenait dans une lenteur de gastéropode.

« Gov », se dit Superdope. « Me vla comme une nouche sur un ptit vélo. C’est pas mon genre faudrait pas qu’un lapin se risque à me coller la main ». Mais il se dit que si ça arrivait l’allait répondre gentipoliment et pas fracasser le gonz. Superdope quoique staturé large, l’était malgré tout le genteullmann et refusait la baston quand ça pouvait, ainsi que la discrimine…par idéologie s’entend, et par intérêt, y avait là aussi la clientèle potentielle ….

« tous les goûts sont dans la pâture » …aimait il dire.

Mais y avait aussi la supermeuf, celle qui distille les parfums. Douce et Lascive à souhait . c’était le bon coté pile de cette face là. Celle par là-bas, par exemple, comme un gros chat onctueux. Genre pissindlov. Superdope salivait et se dit qu’il frait sans doute un ptit crochet à hello Kitty après l’écoule du produit.

Les drugzinneur zavaient proposé un truc assez bluffant sur lequel zavaient passé des plombes. Une substance de fusion collective mégaplus. Hyperlove Fullfusion que ça s’appelait. Un truc de synchro avec tes voisins genre tout le monde bien gentil … Fallait tester avec d’autres teuffeurs lors de la session transe-ambiant-chill de DJ TouMontemps.

Il brancha son Backinzegame et aussitôt prévenu les sniffeurs vinrent ,chacun son tour, (pour respecter la clause de confidentialité s’entend).
Il avait sa panoplie du business as usual. Le top dix des substances convoitées, mais pour pas trop qu’ça dure il fit son mystérieux… Hyperlove Fullfusion. Voulez tester un truc de ouf qu’on n’en reparlera, vous direz « moi que vla j’y etais » ????. Vous direz, Bibi waz ze pionnieur !. Vous entrerez dans l’hysterie de l’histoire avec un H en lettrage biblik….

Et c’est pas pour rien qu’on fit appel à Superdope grand bara-gouineur sur l’égo sciée des gouines barrées en scie égoïne… les 70 pills moins deux furent écoulées en moins de 2. et C’est avec sa pill perso et une pour miss Féline qu’il se fraya un chemin dans la foule et se présenta bien lisse et bien coiffé comme le type qui allait lui sauver sa soirée.

le cyclope amadoue la matoue

La chatte leva sur lui un regard de maline. Mata le costume piteux et sale, les pustules, et le fond d’œil cyclope… C’était pas trop son type… mais son sniffeur lui appris que c’était un dealeur assermenté , et qu’on pouvait avec un zonk comme ça passer une soirée assez potable et repartir les poches pleines de bon tossma. Aussi sourit t’elle de ses dents pointues et blanches.

Superdope baratina et du pouce et l’index sorti la chose qu’il tenait avec délicatesse devant son facial. La langue rappeuse de la matoue accueilli la substance pour l’emmener dans son gosier. Superdope envoya en l’air l’autre pill d’une pichenette qu’il rattrapa bouche grande ouverte et goba.

Hyperlove Fullfusion. c’etait un truc de dingue.

Vous fondez comme cire sous chandelle,

tout seul, ça n’a pas d’intérêt

mais à plus de un …vous vous mélangez au consom-mateurz /teuze en une sorte de gélatine plurividuelle. Vous devenez deux, puis quinze, puis 70.

Superdope se fondit dans la dame qui se fondit en lui ; en plan subjectif c’était hip. Il se retrouva à caresser ses nib-nobs qui n’étaient pas les siens, éprouva le plaisir palpitant de la palpation dans la subjection, jouant avec l’élasticité des tinnes c’était cool relax.

La Matoue qui n’était pas du genre à perdre son temps envisagea un self-coïte érmafro, d’un regard attentif et curieux, observa le mazbrok de Superdope glissant tel un concombre de mer dans l’abysse verticale de ses lèvres.

Il avait là de l’estampage nippon hop-scene picassoïde qu’en vizuel seul un esthète pouvait apprécier.

Mais ça devint alors le bordel et une atteinte à l’intimité quand les autres toxicoïdes rejoignirent le binomes pour en faire une sorte de plurinome, ou soixantedizinome.

Vu de l’extérieur la chose était informe, monstrueuse, partouzesque, énorme et visqueuse baigné dans un étrange halo. genre Cthulhu pornesque vrombissant et frémissant …pas moins.

Absolument pas résistible, les autres teuffeurs (sobres de la substance), impuissants à fondre, surnageaient pi se noyaient.

La musique n’était plus rythme mais onde lente, vibration profonde et ralentie….peuplée d’appels lointains et vocalizés, intenses, comme si les anssesteurs voulaient dire un truc grave, de cette régression formelle atomique.

Dj TouMontemps, informé de l’expérience fit tourner sur ses platines les grooves les plus proches d’une aspérité sensorielle organique texturielle Gueu Gueu Gueu ou Mu Mu Mu…. zétiez échoué sur une plage de sable noir .
Lui sculptait ses sons comme du slime qui plus loin prenait la forme d’une méduse aux multiples tentacules ondulantes. c’était du jamais zyeuté. Le monstroïde vibrait, tanguait dans l’espace et le temps….
Ceux qui mesurent mesurèrent des altérations. Fallait y aller molo et on transpira.

Hyperlove Fullfusion

On pouvait se demander ; mais question ? que vont devenir tous ces teuffeurs médusés tous fusionnés entre eux comme un gros patamodlé bien moche qui troue l’espace et le temps ?. Vont il rester comme ça en cnidaire de rave party à shinter l’équilibre dimensionnel, mode désinvolte ?

Inside the beast c’était la fractalisation en écho branché dixmille. Le vol plané dans la pluralité des immersions. Un peu comme si vous terceptiez 70 confs au biphone chacun dans sa vocable clear and load et vous piler tout ça en madhammer et vous jeter le résidu dans un canyon grandiloquant type celui des grands vents, mais ça revient non stop à la gueule et vous rcommencez… Un truc de dingue. zêtes tour à tour bien ptit et vous vous voyer là, gravir les faces nord en zoum arrière terrible.

ll fallu attendre quelques heures avant de saoulager son monde et que peu à peu l’étrange streumon se divisa, et que cette division revenait peu a peu à la formes des gobeurs d’Hyperlove Fullfusion….

Toutefois, après une dizaine d’heures ils furent quelques uns à se retrouver coincés dans l’autre et rester comme ça. Et l’on du résolv à damettre que ça n’allait pas s’arranger.

Superdope eut bien aimé rester dans la matoue quelques semaines avant une rupture dans les règles sous la forme jtedivorce picétou , Allah-rvoillure m’dame, sauf que le hasard en décida autrement. C’est avec un gaveux genre bavasse qu’il se trouva coincé ; c’était pas jouasse d’autant que le gaveux n’goulottait que des racines crues, et qu’il avait le contrôle alimentaire de l’entrepriz.

Superdope après 10 jours à chercher la soluce fini par se rendre au centre. Tachant comme ci comme ça de pas trop faire du ramdam. Sa répute il y tenait. Et même si jadis on l’avait pris en flag de piocher dans la boite a bonbon,  là c’était autre chose. Il gérait pas ce coté multividu. Superdope l’aimait tant que ce peu rester intégral et avec son soi même bien limité.

Lui voulait couper là et là, et que l’autre splitté si c’est pas recollable et bien Tempipe Pipourlui. Dommage colate et rots qu’on dirait.

Mais les docses eux pas de cette oreille ils zentendaient. A coz de l’infection. Donc notre pov ptit cyclope resta chomdu et vissé dans une piaule du centre avec la ronde des inexperts de ci de là à proposer des soluces qu’aucunes n’étaient dans la satissfe pour le ptit monde.

Le contabeule de superdope, en vieille lope sale qui savait bein qu’falait toujours garder un œil sur son cyclop, il fit le vieux calcul benefice/malefice, et le clama bankcrouté.
Tantécibe qu’il signa off presto avec sa comisse et son parachute mordoré ce sale vilain.

Major Tom comme à l’hébétude enterra l’incident, vida les mems des appareils et pof repartit sur la ligne bizness éprofi.

C’est ainsi que Sup reste à présent dans la piaule du centre à attendre que l’on le tirasse de ce mauvais pas. Et cela dure et dure et dure… et bien… l’y est toujours à présent et en ce moment même ou je vous scribe.

Donc voilà la véritable vérité et pouvez donc cogiter sur tout ça et envoyer vos dons larmoyants car zavez deviné;  le panflétaire planétaire n’est autre que Superdope Joe lui même, cherchant à rétablir la véritable vérité et cherchant de surcroît un bon docse attentionné pas trop néreux qui puisse virer l’autre colocataire gaveux ….

car ça l’fait pas dans la durablité… comme on dit.

 

© Davido

Se la coulée douce (malgré les avalanches).

Hey…

Vous l’avez remarqué, cela fait … Plusieurs rotations solaires sans publications. Vous vous dites; « Par le trou noir de Barel-Barape, que le déshonneur s’abatte sur tout chroniqueur qui s’absente ! »

Vous avez raison.

Et bien sur , Si il ne narre plus, l’histoire n’attend pas le narrateur. Les personnages patientent un peu, puis se lassent, s’étiolent, se dispersent et reprennent leurs épopées individuelles sans témoins ni selfies.

Bah…. je fus éloigné de la sphère blogoïde pour des raisons bassement terrestres, purement matérielles et tout à fait d’ordre pratique…. mais à présent me voici back on line.

Tel un berger qui s’est absenté trop longtemps et dont l’troupeau à foutu l’camp… il a fallu arpenter les pâtures d’un scénario escarpé pour retrouver mes protagonistes, savoir où ils-elles en sont, et retrouver le distendu fil narratif.

Tout d’abord,

Oncla Akra Toussaint-Jour, coincé sans chauffeur dans son camping car spatial en Noramarh, région montagneuse de Mepte Mupta, mis quelques mois à apprendre à piloter cet engin (à partir de vidéos d’un rézotubeur).
Pendant ce temps là il s’est nourri de vers endémiques et de rutabaga.
Puis il se mit en route vers Degling Moilatet afin de retrouver Philopin, son chauffeur et valet….
A la suite d’une erreur importante de calcul d’itinéraire il fut récupéré in extremis par les miss extrêmes du groupe des Sauveteuses de la planète Alertam’Alibu où il se trouve à présent …

Il nous a envoyé cette  carte postale….. Il va bien.

Oncle Akra, en fouteux sur la plage, cherche a impressionner la valkyre qui l’a sauvé

 


Sur Degling Moilatet, la teuf planétaire non stop,
Superdope Joe, le dealer zélé des teufs planétaire est dans un sale état. Vous verrez de quoi il en retourne au prochain épisode imminent.

Quant à Philopin, et Jean Christophe Inembourg, Samulfu et le stipule, Fossathan Drathu Ememopir, et tous les autres, j’ignore encore où ils sont…. Patientez un peu….

© Davido

 

 

 

Faut il refiler son corps aux Navires Russes ?

du camarade Emkine

citation : le pangolin, il faut le cuire assez

 

Avez vous reçu, en 2020, ce message du pangolin chinois ?
Si oui…. Comment vous-êtes-vous dépatouillé avec ?

Si vous vous êtes attardé un tant soi peu sur l’épisode du 11 janvier 2015, du 05 avril 2015 , ou celui du 2 janvier 2016, Vous avez pu entrevoir une partie du panthéon cosmique des inter-galaxies, grand bazar antédiluvien ou vivent les entités supérieures et les demiurges locaux.

Vous a été présenté un spécimen des plus intéressant, Thanvala Cruchalo , Déesse Anomiste de la planète pélagique Draver Sédu, qui aime à faire sombrer les embarcations, saboter les ponts, miner les morals, désenchanter les cœurs, saloper les réputations et gâcher les cérémonies.

Thanvala Cruchalo et son lézard pandémoniaque

On a pas tous la chance d’héberger en nos planètes de misericor-dieux vaguement bienveillants  ; l’Anomisme, quand vous êtes divin, c’est un long travail de sape, et nous terriens, confinés parfois comme sardines en boites ferions bien d’apprécier nos déités locales ; Draver Sédu souffre d’une telle impopularité auprès des agences de voyages que nous serions bien dépités si par malheurs on nous exilait là bas.

Mais l’anomisme comme l’onanisme finit par lasser, et quand déesse hélas se lasse, ne se prélasse , n’a plus rien à fiche, elle s’en va t’en guerre. La Muse à règne, couronnée à vie,  ruse et se lance dans la vaste conquête de bien fiche le bordel par-delà son périmètre planétaire.

Pour optimiser ses chances de séduction massive et de chaos orchestré, elle fait appel à son vieux thérianthrope d’acolyte, le bien nommé Khalafin Hells Seukass ; Saurien des enfers, Dieu impassible de toutes les impasses possibles. Se répète t-il ce reptile ? Bah vous n’en saurez rien…..Mais subrepticement vous avez pu voir  le saurien sourire.

l’adage veut que si Thanvala Cruchalo et Khalafin Hells Seukass batifolent dans le même lit, on se trouve généralement dans de beaux draps, la plupart du temps elle n’y va pas avec le dos de l’écuyère….et sans ambages de déclarer « Qu’on pende Amy » !

Cavalières de apocalypse, Amy Playjjii, Dolly Präane et Daisy Dhratée, sempiternelles rivales et belles liqueuses associées se la coulent douce depuis des lustres sur notre belle planète bleutée.

Amy Playjjii et Dolly Präane, entourées de leur gardes du corps

 

tandis qu’elle fait ses ablutions, Daisy Dhratée est importunée par un baigneur (qu’elle transformera vite en batracien)

 

Khalafin, non-challants du bateau, veut plaire à l’enjôleuse et hameçonner l’âme sœur,  Il fait appel a un obscur cousin terrestre, Ovide 19, Pholidote manidé en critique voie d’extinction.

C’est une longue et désastreuse litanie tragique…
18 s’est fait écraser sur l’autoroute qui relie Wuhan à Pekin,
16 et 17 auraient servi de petit déjeuner au milliardaire Ni-hun Fu, qui se délecte de ce met,
de 07 à 15 tous se sont pris des mélèzes sur la gueule lors des programmes de déforestation.
06 et 05 et 02 s’ennuient à mourir dans un vivarium.
Alors, Qu’Ovide 19 se répande après ces navrantes péripéties, c’est assez compréhensible… Ils en ont sacrément tous bavés ces pangolins.

Le voilà, ce premier do/mino, ré/mineur qui bascule. L’ orchestre continue de jouer tandis que le navire sombre.  Tout est tellement bien ficelé chez les humains qu’une petite bestiole qui toussote entraîne tous les rats des marrées en une pestilentielle flotte.

Mais quel est le rapport avec le vaisseau slave dira celui qui suit ?

C’est le propre du Sapiens de céder à la panique lorsqu’il traverse des zones qui turbulent.
nous voyons de militaires vaisseaux mouiller dans les baies, des avions profilés en aiguilles sur les tarmacs proposer des vaccins iraient-vers-cibles, tandis que les foules houspillent les leaders, et de grands magnat du business se frottent les mains car comme disent les maquereaux, c’est au milieu du foutoir que les opérations sont juteuses.

Poutitanic recrute, vous montez à bord ?
Ou bien préférez vous l’insondable demi pongiste Xi Jin ?
à moins que vous ne regrettiez la trompette du canard déchaîné ?

La suite …. En deux mille vingt et un !

Œdipe hèle le sphinx (ddo/mc)

les déconvenues d’une genèse traumatique

la bête Rave bat son plein

Philopin se tenait prostré, hagard, hébété le long d’une voie poussiéreuse à l’entrée d’une Rave-no-end de Degling Moilatet.

Affalé à même le sol, les yeux ouverts, perdus dans le vide, un filet de bave coulait de ses commissures. Il fixait le ciel violacé et vaporeux de la planète, des infra-basses soulevaient à rythme régulier le sable et les petits cailloux autour de lui.

Quelques temps auparavant il avait eu la réponse à la grande question qu’il se posait : « d’où viens-je ? »,
Ce fut pour lui un profond délabrement intérieur.

 

A son arrivée sur Degling Moilatet, passé la prise des drogues les plus divertissantes et assisté aux concerts les plus édifiants de toute sa vie de Nostrill, après avoir traversé multiples dimensions, chevauché des dragons hallucins, il se trouva dans une phase de flottement émotionnel que les drogues ne purent endiguer.

Il se mit alors en quête d’un centre de traçabilité généalogique des créatures intergalactiques.

Philopin ne connaissait ni son père, ni sa mère et il se dit que ce voyage sur Degling Moilatet allait être initiatique à tous les niveaux.. Il allait apprendre sur lui autant qu’il pouvait, mais principalement d’où il venait..

Le prélèvement ADN-MDMA-N lui fournit une identification formelle à 100 %. le laborantin-droïde lui tendit un petit papier sur lequel se trouvait le nom de ses 2 géniteurs, la date et le lieu exacts de la rencontre organique des éléments et molécules constituantes de sa genèse à lui.

Ce fut :

temps universel: 10/03/14/20/0110/TMM

individu femelle: Tinesse Bandaparr

individu mâle: Flapeu Nékikoul Nékin Feudpaill

lieu : planète Tetralir, Bibilothèque Municipale de Faupachtélbébé Av. Lodubin.

Une recherche au centre des données intergalactiques interconnectées lui apprit que, planète Tétralir, le 10/03/14/20/0110/TMM mad-moiselle Tinesse Bandaparr et monsieut Flapeu Nékikoul Nékin Feudpaill se rencontrèrent intimement ce jour là, et ce, au sein d’une production quintévisuelle de caractère érographique.

la plante Ureuse chime-Mère

Flapeu Nékikoul Nékin Feudpaill, son géniteur, était un nostrill de classe D, sous-acteur rémunéré au salaire minimum de la profession, selon le barème conventionnel appliqué aux Nostrills.

A cette période, âgé de 27 ans, bras ballants et longs, de stature filiforme et dégingandée, jambes courtes et arquées, flegmatique et zozotant un peu, Flapeu n’aimait rien d’autre que la fumette des mousses séchées de Scotish-Muhle. Pour s’en procurer quotidiennement s’en trop s’échiner la couenne, il s’engagea au centre local de comédie télévisuelle ou il fut figurant plusieurs années avant d’être remarqué par un moteur de recherche pour un rôle un peu spécial. On lui fit faire quelques saynètes qui s’avérèrent concluantes, son caractère correspondait au personnage du film… et puis surtout il ne coûtait presque rien.

Flapeu dans son club de fumette

Il fut intégré au casting d’une super production « coquine » (coquine restant l’euphémisme d’usage) avec la star du moment, la très aguichante Tinesse Bandaparr une moiselle au grain de peau plus lisse et fin que la meilleure des soies, aux courbes plus éloquentes que les nymphoïdes des gravures des chapelles de Ba-Bordel, aux formes fermes et douces, pourvue d’un minois hypnotique, douée de cette séduction surnaturelle que lui conférait la finesse de sa gestuelle, un corps de déesse et un esprit furtif et aiguisé. Son taux de désirabilité dépassait 180 sur l’échelle de Libidi. Elle resta par 2 fois au top chart des PSM (performeuses sexuelles médiatiques) pendant plus de 47 mois.

« Il est étonnant, confesse l’historien Flétan Kipass, qu’une actrice de cette trempe embrassasse la catégorie des films pornovisuels ; son étonnante plastique, sa vivacité d’esprit ainsi que la subtilité de son jeu lui aurait facilement ouvert d’autres possibilités sans pour autant avoir à exhiber la majeure partie de ses charmes et attributs intimes (ce que le courant moraliste dominant continuait à réprouver),  décrocher des rôles d’actrices plus intéressants dans des fictions où la passion amoureuse restait ou suggestive ou incarnée par des doublures ».
« Elle eut pu ainsi conserver toute sa respectabilité en exerçant une activité méga rémunératrice qui lui aurait permis d’atteindre le niveau d’hyprasuperstarr et de converser avec des huiles essentielles »
.

Mais il n’en fut rien et les raisons qui conduisirent Tinesse à entrer puis se cantonner au secteur pornovisuel restèrent au stade de supputations vaseuses émises par les batrasophes de la grande Marre de Setvikhi-Nao-KinsSenss-plof.

Certains théoriciens parmi les plus abscons avancèrent l’hypothèse de l’avilissement jouissif comme attitude néo-punk de transgression d’un ordre établi dans une bravade méta-féministe refoulée mais constituante de la part sombre du caractère de la gente féminine en réponse à la rigidité sociétale… hypothèse qu’elle parvenait si facilement à nous faire oublier. «Pourquoi je fais ce que je fais ? mais à part moi qui pourrait le faire aussi bien ?, voire mieux ?» répondait-elle dans un sourire désarmant, balayant les morales étriquées et la bien-pensance Jus d’ého cru s’y fit sienne.

Cela dit, sa cote de popularité était plus qu’envieuse, et la très sérieuse fondation des onanistes anonymes qui aimait à faire des statistiques en tous genres d’aucune utilité estima à 500 000 quintolitres les quantités de pollutions séminales générées par les films de Tinesse Bandaparr, presque autant que celles produites par la lecture de l’ouvrage Natochinois du 4eme siècle (temps galactique) jardinage en petite tenue…

ce qui n’est pas rien.

« La Blibustiere de Swann »

Le scénario du film dans lequel Flapeu et Tinesse se rencontrèrent comportait les clichés d’usage, mais s’avérait plutôt divertissant.

Dans une bibliothèque, un nostril demande à la préposée, une Moiselle de 22 ans pudibonde mais courtement vêtue, aux longs cheveux noirs et bouclés qui descendent jusque dans le bas du dos, le titre d’un ouvrage peu connu sur la culture des mousses de Scotish-Muhle et comment bien les sécher. Celle-ci nonchalamment s’empare d’une échelle où elle se perche pour chercher l’ouvrage, mais catastrophe !, remontant son genou plus haut pour mieux se caler au barreau, l’unique vêtement un brin étriqué qui lui servait de couvre hanche et buste (l’uniforme des bibliothécaires de Swann) se dégrafe et tombe au sol, dévoilant ainsi la nudité d’un avenant postérieur nivéen, dont l’extériorité morphologique n’avait d’égal que la promesse d’une intériorité chatoyante (c’est ainsi que le scénariste décrivit ce passage, et on lui demanda de s’abstenir de faire des phrases biscornues).

Le nostrill esbaudi, les yeux rivés sur cette partie corporelle joufflue succombe aux charmes de l’Afon Xionnaire, et tandis qu’elle redescend, il s’empare non de l’ouvrage mais de cette belle lune gibbeuse croissante qui termine sa rotation orbitale dans sa direction à lui (ici aussi on demanda au scénariste d’éviter les métaphores foireuses).

La préposée se rebiffe un peu, par principe, et parce qu’elle venait d’une bonne famille (flash back sur son enfance où elle chante des cantiques satanistes avec ses amies collégiennes) et puis de guerre lasse (elle ne s’épanouit pas dans sa profession), l’amie Litaire (c’en était trop, on vira le scénariste), dubitative décide de tenter cette étrange aventure et de s’adonner à la concupiscence et au stupre pendant ses heures de travail sans badger sa pause… qui sait si cette expérience ne lui ouvrira pas de nouveaux horizons, ou de vertigineux vertizons, bref, il s’agissait d’une odyssée spatiale azimutale qui s’ouvrait à elle tandis qu’elle s’ouvrait à lui.

On y découvre alors dans son intégralité une anatomie ineffable, le type de poitrine dite volcanique, légèrement galbée et dont les cônes protubères et lactescents, pointés en est-ouest étaient très tendance à l’époque, la silhouette voluptueuse, la taille fine et le bassin plus large sur de longues jambes correspondaient aux critères tout à fait dans le goût de 98% des visionneurs. Le dessin délicat en pyramide noire inversée de sa toison pubienne pointant le sol, tel le glas pubère d’un gladiateur oscillant qu’une déesse égyptienne envoyait à trépas catalysait toutes les attentions voyeuses de sa funeste présence.

C’est dans le rayonnage de la bibliothèque que cela se passe, permettant ainsi d’ajouter le tag : « nudité publique (nul doute pénale)» entre le tag, « oh mon dieu il gicle sur la moiselle» et « la nature a horreur du vide » ; mots clefs obscènes renseignant les moteurs de recherche et les internautes en errance.

Comme convenu dans le script, le nostrill devait entreprendre vigoureusement cette moiselle selon le style du chien, c’est à dire les mains sur le dos de sa partenaire,maintenant ses hanches, remplissant de son organe reproducteur (aussi phallique qu’il fut possible) la faille pubienne de séparation arrière à la convergence des jambes de la créature, et cela aussi profondément que son organe le put … Mais chez les nostrills, ça allait, on pouvait qualifier “d’assez compatible” les 2 morphologies.

Dans ce genre de divertissement télévisuel, un orgasmomètre d’ondes cérébrales était communément et discrètement posé sur les ondes encéphaliques de nos 2 acteurs, le spectateur pouvant alors juger de la performance qu’on lui proposait.
Ce qui différenciait les films d’amour romantiques des films érographiques résidait dans la croyance en de beaux lendemains pour les premiers, et dans l’absence de simulation pour les seconds.

Bien sûr, les Nostrills n’ont pas haute réputation dans ce domaine et leurs performances font rarement l’objet d’un récit épique, et si on a fait appel à eux, c’est plutôt pour agrémenter un scénario maintes fois répété. Une variation sur le thème, associant humour, gaucherie et improbabilité.

Tinesse Bandaparr avait pour réputation d’être plurisexuelle, multipartenaire et interespèce, c’est à dire ouverte à toutes les associations, positions et combinaisons, mais dans la limite de ses goûts à elle.

Du fait de sa notoriété, elle pouvait influer sur le scénario et imposer à la production ses avis et envies. Elle approuva la saynète: « à condition que le personnage principal que j’incarne ne restât pas au stade du Nostrill et qu’à la fin ce fut un bel Etalhe Hon Hun, laurelle et hardi, érudit et spirituel qui m’amusasse et me sortisse de cette enfer bibliophile ».

Il fallait une morale : « Générosité envers son prochain paye toujours le lendemain » fut celle-là . Au spectateur de repartir, songeur, en acceptant sa condition pouilleuse pour de possibles jours meilleurs en compagnie d’une chatte oyante qui lui procurât de voluptes délassements.

L’orgasmomètre constituait alors un enjeu important et l’échelle qu’il proposait suscitait bien des commentaires et polémiques. On avait scientifiquement désigné 718 le niveau d’orgasme absolu, sorte de Graal du plaisir, de point d’ultime jouissance, Everest de l’extase copulatrice. 718 c’était pour la gente féminine. La gente masculine restait cantonnée à 522,78. Nul jusqu’à présent n’avait atteint ni 718 ni 522,78.

Voilà donc l’ intrigue préliminaire, auquel Philopin put assister, lui et des trilliards de spectateurs avant lui.

La quintavidéo lui permettait de choisir l’angle de vue qu’il préférait. De zoomer, de se placer au dessus, de ralentir ou d’accélérer, de multiplier les plans, de suivre en double couche les courbes de l’orgasmomètre et l’étreinte en action.
Il pouvait même actionner la touche « camera subjective » et passer de l’une à l’autre vision des acteurs… Ce qu’il ne fit pas… Son Zigmundfreud lui signala fortement que dans son cas, il y avait là un interdit qu’il ne franchirait qu’au prix de graves fêlures psychiques.

L’éclairagiste, un dénommé Toulézé Tage, reçut un prix pour cette scène.

Et j’accule , Sion, deale la came à soute ! rat !

Flapeu, son géniteur fut bien en deçà de ce qu’on attendait de lui. Faute d’avoir eu préalablement une expérience qui ressemblât de près ou de loin à celle-ci, ni de s’être suffisamment entraîné comme on lui recommanda, et peut être aussi avait-il abusé, la veille, pour surmonter son trac, de fumettes de mousse, il vint assez rapidement et expulsa bien vite sa semence ; L’orgasmomètre le gratifia d’un score de 112,8 tandis que Tinesse sentit vaguement un courant chaud lui traverser le canal, elle se trouvait à 15,1 niveau de plaisir similaire à celui qu’elle a quand elle mange un yaourt avec des vrais morceaux de fruits dedans.

Devant cette piètre performance, Il fut décidé de baisser sa rémunération de 72 %. De ce fait il n’eut pas assez pour se payer le ticket du voyage retour sur sa planète de résidence.

Pour ne pas ruiner la séquence, le preneur de son, un Malabar rose et mou de texture, cyclope mais clairvoyant, imposant mais doté d’esprit d’initiative, prit le relais.

Dans un style conventionnel mais dont la rythmique forçait le respect, il promulgua quelques effleurements épidermiques bien localisés, proposa diverses positions originales qui permirent des plans plutôt intéressants.

Sauf une brève cécité temporelle (il se prit le talon de Tinesse dans l’œil en essayant de lui lécher l’orteil gauche) Il parvint à divertir son hôtesse plus d’une dizaine de minutes et tous deux vinrent quasi simultanément au taux de 413 pour lui et 326 pour elle… Belle performance pour un novice.

Il oublia toutefois de parfaire le maquillage facial de sa collaboratrice comme on lui conseilla et vint comme il venait avec son épouse, c’est a dire, selon la métaphore culinaire, en lâchant la purée au fond de la marmite, ce qu’on lui pardonna.

On adapta le scénario, intégrant le malabar en voyeur jaloux en arrière plan au départ… secrètement amoureux de la préposée.
Il se battrait ensuite avec Flapeu, dans une scène rapide pour ne pas perdre l’intrigue principale, puis ils disparaîtraient tous deux, le malabar et Flapeu, dans un duel aux poings un rien pathétique et on pouvait passer à autre chose c’est à dire l’apparition du bel Ethale Hon demandant un ouvrage sur Athil-A, son ancêtre présupposé. A-t-elle atila ? se demande l’ethale hon hun tandis qu’il se gratte l’atèle fut le plan séquence d’introduction au chapitre suivant.

Au climax de la scène avec le Malabar et Tinesse, le liquide séminal du nostrill, qui trainait là, entre l’entrée de la moiselle et son cul de sac, fut expulsé direct au fond du fond de sa personne à elle. Propulsé par le jet puissant du malabar et juste devant (de quelques encablures) la substance nostrilienne rencontra une sphère douce et chaude dans laquelle elle s’engouffra et s’installa comme squatteur en l’appartement d’autrui.

Les scientifiques de la production (toujours questionnés avant un casting) avaient été formels, entre 2 espèces si différentes, pas de risque que ça donne quelque chose… pas de précaution à prendre, « donnez vous en à cœur joie » avaient-ils clamé, enthousiastes le poing levé en soulevant leurs bocks de Biru…. « les chats ne font pas des chiens, et le vice versa ».

La suite leur prouva que non.

Label île Licite

Tinesse bandaparr dans un concert très privé

1 mois plus tard, dans sa retraite sur la planète estivale de Sylphide-Lope-et-Lape, au bord de son olympienne piscine privée, Tinesse Bandaparr vomissait son 1er cocktail vodka-lychi, alors que d’habitude elle pouvait s’en enfiler 5 le matin sans broncher, danser nue sur la table avec ses copines, puis partir faire du shopping conduite par des esclaves en quadricycle .

Inquiète, elle consulta.

La nouvelle lui fut dévastatrice, nous étions sous la présidence de Bibindum Flambanneuf 72virgule2 qui interdisait l’avortement dans les intergalaxies. Tinesse dut conduire à terme sa pregnation sans quoi elle risquait la mise en taule et une rupture dans sa carrière qui lui eut été rédhibitoire (raide y bite-toire écrivaient les moqueurs).

Lorsque l’enfant parut, le fait qu’il fut un nostrill l’étonna d’abord, puis l’incita tout de suite à s’en débarrasser. Il fut placé dans un institut quelconque où elle s’empressa vite de l’oublier, malgré les quolibets de la presse à scandale.

Une chance pour elle, un autre scandale plus énorme encore vint ternir le sien : Bibindum Flambanneuf détourna une mineure mineure sur la planète Kra-bone14, dut se retirer prestement des affaires politiques et s’enfuir poursuivi par de Vatenguerres Femmoralistes.

Très remontée contre la compagnie de production, Tinesse intenta un procès qu’elle gagna haut la main. L’entreprise, dont le siège social se trouvait sur Kleenex21, fut ruinée, déposa le bilan, céda ses droits d’auteurs et se débarrassa des studios et du matériel et exécuta ses employés.

Tinesse racheta l’ensemble. A l’âge de 23 ans elle devint une des plus jeunes directrices de production érographique,  à la tête d’une fortune confortable.

Son ambition ne s’arrêta pas là, elle voulait disait-elle « être la première des créatures médiatisées et vastement désirables à atteindre l’échelle 718 dans une version mulitidifusée, live et payante», l’orgasme absolu, dans une « super production en temps réel hautement rentable qui constituerait le chef d’œuvre ultime du genre ».

Elle mit tout en œuvre pour réaliser son rêve.

Elle dénicha les meilleurs scénaristes qui planchèrent jour et nuit sur l’histoire, les meilleurs décorateurs, les plus talentueuses habilleuses, elle put convaincre Fame Vomur (parmi d’autres) de financer le projet, puis lors d’une tombola elle rencontra l’élément principal manquant ; un Bordeurbite tricouille, surfeur et poète, musclé et épilé du torse, doté d’une barbe mérovingienne et de rouflaquettes seventies, qui répondait au doux nom de Dobeulyou. Elle en tomba amoureuse.

Les 2 protagonistes attendirent que leur désir de l’un pour l’autre eut atteint des degrés paroxysmiques avant de se laisser guider dans les tréfonds torturés des romanciers sulfureux, tandis que de débridés asiates terminaient en hâte les dialogues.

Apam et Ebe

A fortiori, il faut admettre que l’histoire était foutrement alambiquée…

Un vaisseau intergalactique se crashe sur une planète inhabitée et lointaine, d’où Apam et Ebe sortent seuls survivants parmi les passagers. ils ne se connaissent pas mais ont d’abord à enterrer toutes les victimes, certaines intimes (le père d’ Ebe) avec la pelle mécanique du vaisseau. Puis ils s’assurent qu’ils ont bien ce qu’il faut pour subsister, mais sur cette planète c’était chose facile (c’est une sorte de jardin potager naturel sans pesticide ni intrants chimiques… Ebe constate que c’est bon pour la santé et meilleur pour sa peau… (le groupement des Zécologistes ont financé 17% du film)).

S’ensuit alors quelques préliminaires ludiques et jubiles où les 2 tourtereux font connaissance et l’on sent l’amour et le désir s’installer entre nos deux jeunes zzéros.

Ce fut la douche sous la cascade, tandis que la guette Apam, fiévreux…

la scène de combat musclé contre un colibri sociopathe à l’issue duquel, blessé, Apam dit, cite, l’aphorisme de Kam Assoutra sur la vanité de la douleur, et s’évanouit…

Puis la scène où l’héroïne coince son unique robe dans un rocher qu’elle doit, pour se dégager, découper avec la mini paire de ciseaux de son trousseau de couture de secours et filer illico en catimini rampante sur le sol moussu entre des buissons pour ne pas être aperçue d’un Apam talons sous les cuisses dans le fourrés en voyeur éhonté.

Puis le moment où Apam fait un double salto arrière et se prend les pieds dans une racine, glisse et tombe sur la tête, cite de nouveau Kam Assoutra et s’évanouit…

enfin Ebe lascive qui fait la lessive tandis qu’ Apam salive.

etc… .

Ebe enfin se pâme pour l’éphèbe Apam.

Tout n’allait pas de soi car Ebe devait retrouver son jeune promis, Albert Septeur, c’était le but de son voyage, Albert Septeur, un individu sec et austère, manipulateur, hautain, et dont la denture avait un espace entre chaque incisive, mais qu’elle connaissait depuis son enfance et qu’elle avait consenti à épouser pour faire plaisir à son papa veuf à l’époque.

A présent qu’il fut décédé à son tour (le papa), la jeune orpheline pense que c’est mieux d’honorer posthumément les vœux de son pater. L’ amourette pre-nuptiale aurait résilié l’union, Septeur n’épousait que si vierge Ebe était.

La culpabilité qu’elle éprouve alors tandis que naissent des sentiments pour le bel Apam permettent de créer un dilemme plaisant, d’alourdir les tourments de la belle Ebe (honte, culpabilité, désir, trahison de la promesse faite à son père), de dévoiler sa vulnérabilité émotionnelle et d’augmenter ainsi la charge érotique de ce personnage féminin. ..Tandis qu’Apam, lui, passe son temps dans les fourrés à masser des turbes, ses fallacieuses approches n’ayant essuyé que de polis refus.

En insert pour accentuer les futiles scrupules d’Ebe et se dire qu’elle est vraiment trop conne bête à jouer son ingénue comme ça…on voit le post-futur époux apprendre dans le journal la nouvelle du vaisseau crashé, d’en déduire la mort de sa promise, d’essuyer quelques larmes fugaces puis se mettre en quête d’une nouvelle compagne.

Cela permettait aussi d’introduire le concept d’une persistance vaine et naïve dans la croyance d’un amour fidèle et bourgeois, prémices d’un faux semblant de sécurité familiale. Tout cela plaisait aux cyniques et ils étaient nombreux parmi les amateurs de films érographiques.

Après ces billevesées prologues vient la fameuse scène pour laquelle le film allait entrer dans l’Histoire.

Dans la lumière du matin, après une terrible tempête qui oblige les 2 survivants à se tenir transis serrés l’un contre l’autre, éclairés subrepticement par des flashs d’éclairs furtifs. C’est une Ebe mouillée qui succombe enfin à un Apam humide.

Il y a effeuillage timide partiel puis intégral, un peu gêné d’abord… puis finalement non c’est une planète déserte alors pas la peine (et pourtant ils se trouvent pile poil dans l’angle de la caméra de surveillance des planètes inhabitées)… il y a course dans des prés bien tondus et sans racine pour éviter de se blesser, jeu de ricochets sur la plage côtière (le CIR, club intergalactique de ricochet a financé 4 % du film et exige un interlude à ce moment où l’on explique la meilleur façon de réussir de bons ricochets) et enfin le baiser ultime sous un platane, concluant la phase dite (un peu hypocritement) « platanique » du film…

Puis vient le reste.

Apam agenouillé devant sa belle, lacune, y lingue un peu, Ebe reconnaissante fait la sionne, à son tour, le fougueux Apam, ils simultent, permutent et merputent, l’un sur l’autre en tête à cul pour plus de conversation dans les opérations, puis Apam se ressaisit, se redresse et dirige la moiselle vers sa couche moelleuse immaculée ; un doublebed rond à miroir. Il lui présente humblement son ophidien dressé qu’elle caresse et susurre « Doubleyou, ne crois-tu pas qu’il est encore trop tôt pour m’emmener dans ton doublebed alors que cela fait seulement 122 jours que nous nous connaissons et …» il pose un doigt sur ses lèvres et murmure « chuuut », elle approche alors son buisson qui fulmine. il s’y enfonce jusqu’aux racines et remue en elle.

Sur les écrans de contrôle, dans la salle de mega diffusion et dans tous les postes connectés live des intergalaxies (pour la modique somme de 720 kopecs), ainsi que dans les cinémas locaux connectés eux aussi (pour la modique somme de 1800 kopecs), on voit la courbe évoluer… Tinesse progresse lentement … mais inexorablement. Elle atteint 500, puis 600, puis 700 et 711 et que cela monte encore, va-t-elle atteindre 718 ?

C’est à ce moment qu’une décharge neuro-hormonale de plaisir ultime prend la forme d’une boule d’énergie blanche dans son bassin.

La boule grandit calmement, elle désintègre le couple, l’ensemble des studios, les décors, la plage, la ville toute proche et grignote une bonne partie du paysage. Des raz de marées s’ensuivent, le vide de matière nouvellement apparu doit se combler, la tectonique s’ébranle, de terribles ouragans tentent de rétablir l’équilibre planétaire modifié.

De Tinesse et Dobeulyou, ce fut la dernière apparition. Leurs visages avant de disparaître dans ce flot de lumière exprimèrent une extase à faire pâlir les saintes de BaBordel…. Mais bon… ils furent nombreux ceux qui pensèrent qu’il y a des limites a ne pas franchir dans la courbe orgasmique ..

La ligue des assureurs refusa de catégoriser l’événement en «catastrophe naturelle». Les propriétaires de maisonnées sur Kleenex21 ayant subi des dégradations sur leur logement ne purent recevoir ni indemnités ni compensations, ni se retourner contre l’agence de production, celle-ci n’existant plus du fait de la disparition de sa présidente directrice générale.

Ta natte, os!

Philopin visionna la scène épris de sentiments contradictoires.

il savait que le nostrill son père avait continué dans des séries Z du même genre que la «blibustiere de swann», mais au budget infiniment moins important, dont « bizutage dans les marécages » ou « mou du genou chez Cat Mendoue » et qu’il mourut dans un dénuement complet, l’année dernière, d’une crise de hoquet qui dura 7 jours, personne n’ayant pu lui trouver un remède. Son système immunitaire trop affaibli à cause de la fumette, ne put enrayer ce hoquet importun.

Philopin ne visionna qu’une seule fois la filmographie de sa mère. Il avait 25 ans, l’âge auquel elle disparut. Il recherchait en elle une partie de lui, ou l’inverse. Tel un œdipe désemparé, Il hésitait à se crever les yeux. Lui, objet d’une plaisanterie grotesque, fils d’un zozoteur et d’une autolâtre vénale et sans cœur… Lui, qui vint à la vie dans une éjaculation précoce ultra médiatisé… Témoin, de la scabreuse mise en scène dont il était issu, enregistrée et diffusée à l’infini. Il se sentait la honte de toute la galaxie.

Fruit de rien, projet inexistant, né d’un hasard sordide et poisseux, à la fois subjugué par la beauté de sa mère mais horrifié par la froideur de son âme, cherchant l’amour maternel, ne rencontrant qu’une plastique parfaite mais vide (qu’il ne pouvait s’empêcher de désirer… ce qui lui fit d’autant plus horreur)… il reprit derechef une triple dose de Somnol-butex pour ne plus entendre parler de rien.

C’est dans cet état que le trouva Jean Christophe Inembourg.

A suivre

Smell like Nostrill spirit

Résumé:
Dbeurg et Davido à bord d’un véhicule saurien se rendent sur Degling Moilatet.
Frankygnol sur Crom échappe au Mycocide mais devient la propriété de Fame Vomur

Depuis Degling Moilatet: Superdope Joe fait sa pub:

Ouakomak mon zami !. Me vlà survolant les chaînes de Sibyle-berry

Yo my Niggah !,

Les new drugz de Saint-Tez !!! elles viennent de débouler dans la boutik Niggah… J’en pleure, tellement l’attente fut telle que je cruozote que ça vnait direct des profondis d’la poussière sous l’tapis d’Barel Barappe … mon zami des prairies !.

Donc Niggah la Quest dans ta ciboule c’est : « qu’est-ce qu’Onkl superdope Joe il a dans son fourbi qui vaille l’émoustille ? Ou fait til son tapage de noctambule dans sa diurnité à lui ? Hein ?! Qu’en nez til ???»

Tiens toi à ton psychomoteur et vois l’ travail de ton Dealeurzélé :

Ouakomak : un Perturbateur psychosensoriel tip top… ‘tension… m’en reste pas beaucoup… J’ai abusé Mabuse !
Maximaillze : Hausseur Booster émotionnel… te vla in love… là aussi quantité limitée
MiG-Rrrain : Générateur de Chaos Mental, pour le nettoyage de printemps, riend’tel
Leep-loop : Inverseur de motricité spatiale, débrouille toi avec ça mon gars.. Moi j’ai pas pu rentrer chez moi.
Multiplix : créateur de doubles ou triples zallucinatoires… cccccurieux ?
Mayday : un Désinhibiteur ou « jackteur qui speach sans sa tour de kontrôle », ‘tension danger ! …Laisse ta régulière à la maison ça vaut mieux.
Leathokill : le Psychoseur XXL… Tu m’ laisses le temps de m’ faire la malle OK ?

Te vla fin paré pour l’evene Koncert de Metamind-Ohhhh-Splityourbrain mon vieux brozeur des parages.

Hep là… J’oubliais… La cerise sur la marquise ! Drugz de mutation morphologique tu connais ? : buvards Danold-Tolump… te vla kartoune comme un empafé….mais halte là mon zami, sache que sache que c’est pour l’instant T, irrémédiable avec un grand R, quidiz les Drugzinneurs…. Donc gaffe ton choix… Car Danold-Tolump tu resteras…. kapige ?

La finance de la chose ? Hé bien Superdope Joe lui c’est un Humanoïde-boutentriste qu’il est , Il œuvre pour la grande connaissance des tréfonds d’la distorsion… Donc les sous… non qu’il s’en fout, mais pas large il marge… mais ça tu le sais déjà.

Alors ? …. stupefete mes préfètes ?

Qu’on sledizz …

Ramdam dam dam….

Sous MiG-Rrrain je fus en tête à tête (ou tête à bras) avec mon bras pourvu de zyeux.  le comble pour une entité cyclopèdique telle que moi même… j’avoue ne plus très bien avoir cogitum ma perception visuelle et fus perdu dans un dilemme kaléidoscopique…

a goude frinde of mine….Il voulut tester Danold Tolump….

On s’érode Eugène(ddo/mc)

Résumé:

Fossathan dDrhattu Émèmopir  est  un artiste controversé dans la lignée des Schieles et Mapplethtorpes,
il peint des trucs complaisamment obscènes

et se fait vigoureusement critiquer par les mouvements féministes divers et variés des inter-galaxies…
A celles qui disent qu’il « ne respecte pas l’image de la féminité », il réplique que l’image est dans son essence un mensonge.

Davido disparait au fond des mers de la planète Draver Sédu et y rencontre Khalafin Hells Seukass
C’est le dieu Crocodile de la fin des choses avec qui il échange des propos métaphysiques.

Samulfu sur  Pétune n’a  toujours pas pu vendre son timbre d’une valeur inestimable,
il reste toujours bloqué sur cette planète inhabitée.

Plus de trace de Philopin sur la planète Degling-Moilatet.


Davido

Belle Zébute (Tis a pity…) (ddo/mc)

_Résumé:
Grand Mékoul (un commentateur zélé et avisé)
pense qu’il est temps de conclure cette histoire
car le narrateur « pédale dans la céréale ».

Bien qu’il ait raison, certains protagonistes ne l’entendent pas ainsi.
Et vous le savez sans doute, ça fait bien longtemps que
ni le narrateur principal, ni le correcteur orthographique
ne maitrisent quoi que ce soit dans cette histoire à dormir sur 1 pied
(à part l’orthographe, la syntaxe, et la conjugaison)

Fossathan lui élucubre à propos de l’art poétique
et fait peur au personnage principal de l’histoire, qui est,
pour ceux qui s’en souviennent:, Samulfu le gastérobipode.

Ne frôle-t-on pas dangereusement  la fin tronquée, absurde, nonsensique et  pythonesque ?
Pas encore, car voici un nouveau poème de Fossathan dDrathu Emèmopir
où il nous parle de son désir frustré pour la belle Zébute

 

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Tis a Pity…

Belle
Zébute

Y macule, te
culbute.

Strippeur
de ces buttes,
j’y jouais
de la flûte.

elle, mute,
A l’ombre, ce mal (en rut)

par delà les steppes…. mille volutes
rongeaient,

seul,
dans ma hutte
fulminais, pestais,
zut !

L’âme,
Allah dit:
« Elsa y meurt !, c’est l’oubli !
La part qui sonne, le tremblement ! »

Concert, Duke, au long, blême.
« that was patrol »
eux ; off-ages

civil usé,
je deviens
brute

Quand, sert de la prose, se tâte.
D’un nul, serre à l’est, ô Mma !

Vers ce nord…. je perds.

les alcools… je bois.

K.O.s
à l’uppercut.

Et de très loin
je caressais
le but

de perdre mon temps
avec cette maudite.

Fossathan dDrhattu Émèmopir

 

exhib2-2

Fossathan exhibe ses Zébutes (centre Intergalactique des arts exégètes)