Davido:
Né quelque part dans une zone francophone de la planète Earth en l’an de grâce mil neuf cent soixante treize, ce qui fait qu’on peu le considérer ou bien extraordinairement jeune, ou bien d’un âge tragiquement avancé, selon vos critères de références.
Après une enfance laborieuse parce qu’il lui fallait apprendre un tas de trucs et rencontrer un tas de gens et qu’il n’était pas très doué pour ça, Davido fit des études et obtint par hasard un diplôme anti institutionnaliste avec prédominance graphique de deuxième année à l’université de Mepte Mupta, planète B°.
Il fit alors un long séjour dans une contrée britannique d’où il pu appréhender les tendances brexitiennes, puis un autre séjour non moins long dans une contrée nippone, et c’est dans cette dernière qu’il opta pour religion l’agnosticisme shintoïste à tendance schyzoïde, et adopta pour compagne et première ministre domestique une autochtone aux cheveux noirs un peu stricte mais rigolote parfois. Apparurent alors dans son foyer 2 piratesses de l’espace lui ressemblant un peu, qu’il tente vaguement d’élever selon des préceptes d’éducation strictes mais changeant au grès des humeurs et des pandémies.
Souvent consterné par l’absence de sens de l’humour de son prochain, il prend l’adage que travailler sans s’amuser à rien rend Jack triste Bambin ( « all work and no play makes Jack a dull Boy »), et pratique le dessin comme méthode d’exploration de l’univers, le non-sens comme sport de combat et la randonnée alpine comme moyen de communication avec les forces telluriques de là planète Earth.
Pour nourrir sa famille il fait plein de boulots , vendeur d’anti fourmi au pyrèthre végétal, nettoyeur de chiottes pour le tourisme des sexagénaires, et depuis quelques années tradeur de plantes sèches depuis un bateau fantômes hollandais, celui là même qui par sa légende effraie les villageois.
C’est en observant attentivement son chien en 2013 (année Earthienne) qu’il eu l’idée d’une narration explicative du fonctionnement intrinsèque de l’univers en adoptant le point de vue de l’animal. Fut opté un scénario en construction permanente et des publications passablement irrégulières. Il nommera le projet DustnenFeul du nom de la planète lointaine sans intérêt notoire et jusqu’à présent toujours fort peu accessible.
Il verse régulièrement une part non négligeable de ses futurs revenus potentiels d’illustrateurs à Frankygnol afin qu’il lui corrige ses fautes d’orthographe, et cela non sans gratitude car de nos jours les amateurs de Douglas Adams ne sont pas légion.
Frankygnol:
Son âge ainsi que ses origines ne sont pas clairement établies. On se demande d’ailleurs si ce n’est pas une intelligence artificielle…
Il exerce sur le blog une correction orthographique de premier ordre, également apporte une foultitude d’idées, de personnages, de jeux de mots et enfin et surtout de textes scientifiques améliorant la cohérence du récit.. il va sans dire que Dustnenfeul ne serait pas ce qu’il est sans sa précieuse collaboration.
NB:
Tel un Genghis Khan de la grammaire, conjugaison et lexique de la langue française, et bien qu’infaillible, Frankygnol n’opère qu’impitoyablement et sporadiquement .
Vous serez avisé de considérer toutes les fautes de ce blog non comme un oubli de sa part mais simplement parce que le texte ne lui est pas passé entre les mains.
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