Résumé :
Alors que le scénariste-dessinateur de cette péripétie s’acharne sur la perspective d’un dessin en plongée d’un amphithéâtre peuplé de créatures rigolotes, et que le correcteur-contributeur du récit peaufine le discours de J.C. Inembourg, discours lui-même retranscrit dans ce blog des Journées imaginaires à la page ici… Et bien, dans l’univers c’est le bordel.
Ça a toujours été plus ou moins le bordel me direz-vous, mais là c’est un bordel pénible, voire périlleux, pour les personnages dont nous vous narrons les mirobolantes tribulations depuis maintenant presque une année earthienne.
Je résume donc :
La capsule de Samulfu est en train de s’écraser sur la planète Pétune.
Le vaisseau Brau Koli est en train de s’écraser sur la planète Pornia.
Ma gomme est en train de s’écraser sur le tapis,
tandis qu’un Deinococcus radiodurans est en train de s’écraser sur ma gomme.
La T.M.M. a rompu toute relation diplomatique avec Phénol, Résultamment, la galaxie de Dephternéus se voit privée du plus performant réseau de transport intergalactique jamais conçu, et du système de coordonnées spatiales T.M.M. qui va avec.
Comme je le disais, c’est le Bordel !
Pendant ce temps-là…
Et à des siècles-lumière de là…
© Davido Dbeurg
1 Commentaire
Très chère rédaction des Journées Imaginaires,
Je vous félicite pour votre souci de rigueur et votre penchant pour l’autocritique, mais je crains malheureusement que les efforts déployés ce jour dans ce sens ne soient essentiellement improductifs. Je trouve en effet plus de questionnements (sinon de franches incohérences) que de réponses à la lecture de cet article :
Comment, dans un univers où les vaisseaux de la TMM mettent un tel temps de voyage entre DustnenFeul et Pornia, le digne employé des Poupoulous peut-il parcourir des siècles-lumière (100 000 selon ses propres termes) censés séparer les deux lieux de l’article, alors qu’il se trouvait précisément sur l’autre lieu il y a environ un mois earthien de cela?
Ou alors est-ce que Davido et son ancêtre se sont également déplacés depuis, mais ça ne fait jamais que 100 000 demi-siècles (soit 50 000 siècles pour les plus matheux d’entre nous) à parcourir à la vitesse de la lumière, soit combien à vitesse de vaisseau ?
Ou alors cet émissaire est-il doué de téléportation, mais alors si oui, qu’est-ce que ça lui coûte d’y retourner ?
Autant de questions qui restent en suspens, comme celle de savoir si tout simplement ce n’est pas ce crâne d’œuf qui enfume ses clients, car le monde des Poupoulous se trouve en fait dans l’un des cristaux de glace d’un glacier des Écrins ?