Ode au Nénuphar dans la tempête, nez nu dans les embruns, car ses lotus sont maritimes l’opulente au pull rapide ment jeté par dessus bord, toutes les lunes sont gibbeuses et cul minent au sommet du cinquième ciel Homère agité fraîchissant de 7 à 8 ma lice de lapider des lapins pales sur les pales des hélices ! Car dans le marais, Chère Cul cure bite, assez ! Et dans cette station de ski…. les pistes sont damnées |
Ode to the water lily in the storm, bare nose in the spray, for his lotuses are maritime the opulent to the quick sweater lying thrown overboard, all the moons are gibbous and ass undermine at the top of fifth heaven Homer restless refreshing from 7 to 8 my bitch to stone pale rabbits on the propeller blades! Because in the swamp, dear Ass cure dick, enough! And in this ski resort…. the tracks are damned |
Fév 27
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